samedi 26 juillet 2008

seul à Lyon


Je suis là, seul dans l'appartement, et je me sens comme quand je portais les pantalons de mon grand frère, présent sans vraiment l'être dans un truc trop grand et inconfortable, pas vraiment à moi mais dont je suis dépositaire quand même.

Je reste là, un peu empoté, je ne veux pas qu'il croie que toute ma vie tourne autour de lui (qui pourrait bien être amoureux de son valet ?) mais c'est quand même le cas; c'est tellement vide sans lui.
Il y a bien quelques potes qui passent me remonter le moral, mais c'est tellement loin de ce que lui peut me donner d'un seul regard.

Je crois que demain je serais à 17h24 à Perrache..

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